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Eclipse du 8 avril 2024 et la génisse rousse du Texas.

L’éclipse du 8 avril 2024 promet d’être un événement céleste inoubliable, marquant les esprits et les calendriers des amateurs d’astronomie à travers le monde. Mais au-delà de son spectacle naturel époustouflant, cette éclipse solaire totale porte en elle une signification bien plus profonde, ancrée dans les mystères de l’astrologie mondiale et les légendes séculaires. En particulier, l’histoire fascinante de la genisse rousse du Texas s’entremêle avec les prédictions astrologiques pour révéler des perspectives intrigantes sur notre futur.

L’Europe avait connu une grande éclipse le 11 août 1999, présentée comme l’éclipse du XXe siècle qui a marqué tous les esprits de ceux qui l’ont vécue à l’époque. Un souvenir inoubliable.

Cette éclipse du 11 août 1999 fut annoncée par Nostradamus à travers trois célèbres quatrains.

Le quatrain X-72 :

L’an mil neuf cens nonante neuf sept mois,

Du ciel viendra un grand Roy d’effrayeur:

Resusciter le grand Roy d’Angolmois,

Avant après Mars regner par bon heur.

Le quatrain V-41 :

Nay sous les ombres & journée nocturne,

Sera en regne & bonté souveraine :

Fera renaistre son sang de l’antique urne,

Renouvellant siecle d’or pour l’airain.

Le quatrain V-74 :

De sang Troyen naistra cœur Germanique

Qui deviendra en si haute puissance :

Hors chassera gent estrange Arabique,

Tournant l’Eglise en pristine preeminence.

Trois quatrains que j’analysais dans un des tout premiers articles de mon site internet :

Dans un autre article de mai 2022, je notais que deux jours avant l’éclipse, Vladimir Poutine était nommé Premier ministre en Russie. Je m’interrogeais sur le futur rôle du président russe dans l’accession au pouvoir du Grand Monarque. La Russie était clairement visée dans plusieurs textes de Nostradamus comme alliée du futur Grand Roi de la fin des temps.

Une autre grande éclipse se déroule en ce moment en Amérique du Nord. Elle semble devoir jouer un rôle important dans la crise mondiale que nous traversons depuis de nombreuses années. Elle renvoie au messianisme juif, et de manière indirecte, à l’eschatologie chrétienne.

Je m’explique.

Le 8 avril a lieu une éclipse totale de Soleil qui traverse le Mexique, les Etats-Unis et le Canada. Au USA, elle traverse en particulier le Texas, et au Canada, le Québec.

Or, dans le judaïsme talmudique, il est dit que pour reconstruire le Temple une troisième fois, il faudra trouver une vache rouge sans impureté. En effet, Yahvé avait recommandé de sacrifier une génisse rousse sans tache pour purifier ce qui était auparavant impur. La scène est relatée au chapitre XIX du livre des Nombres.

“Yahvé parla à Moïse et à Aaron, en disant :

« Voici l’ordonnance de la loi que Yahvé a prescrite, en disant : Dis aux enfants d’Israël de t’amener une vache rousse, sans tache, sans défaut corporel, et qui n’ait point porté le joug. Vous la remettrez au prêtre Eléazar, qui la fera sortir du camp, et on l’égorgera devant lui. Le prêtre Eléazar prendra du sang de la vache avec le doigt, et il fera sept fois l’aspersion de ce sang du côté e l’entrée de la tente de réunion.

On brûlera la vache sous ses yeux ; on brûlera sa peau, sa chair et son sang, ainsi que ses excréments. Le prêtre prendra du bois de cèdre, de l’hysope et du cramoisi, et il les jettera au milieu du feu qui consume la vache. Le prêtre lavera ses vêtements et baignera son corps dans l’eau ; puis il rentrera dans le camp et sera impur jusqu’au soir. Celui qui aura brûlé la vache lavera ses vêtements dans l’eau, et baignera son corps dans l’eau, et il sera impur jusqu’au soir. Un homme pur recueillera la cendre de la vache et la déposera hors du camp, dans un lieu pur ; on la conservera pour l’assemblée des enfants d’Israël, en vue de l’eau qui ôte la souillure : c’est un sacrifice pour le péché. Celui qui aura recueilli la cendre de la vache lavera ses vêtements, et sera impur jusqu’au soir. — Ce sera une loi perpétuelle pour les enfants d’Israël et pour l’étranger qui séjourne au milieu d’eux.” (Nombre, XIX, 1-10)

Ce que décrit le chapitre XIX des Nombres ne concerne pas la construction du premier ou du deuxième temple à Jérusalem, mais simplement une procédure de purification. C’est une relecture du texte initial par le Talmud qui semble avoir ajouté de nouveaux éléments. Il est question de neuf génisses rouges qui ont déjà été sacrifiées par la construction des deux premiers temples. Le Talmud annonce le sacrifice d’une dixième pour la construction du troisième temple.

En 2022, un fermier protestant du Texas a fourni cinq vaches rousses à Israël, comme le relate la presse de l’époque.

Elles sont arrivées en Israël le 15 septembre 2022 afin d’y être sacrifiées selon le rituel du livre des Nombres. Cet événement est semble-t-il annonciateur de la construction du troisième temple.

Le problème, et il n’est pas sans importance, c’est que sur l’emplacement de l’ancien temple se trouve l’esplanade des mosquées, avec deux mosquées : celle d’al-aqsa et le dôme du rocher.

Il faudra donc envisager la destruction de l’esplanade des mosquées afin de pouvoir construire le troisième temple. Un projet qui ne cesse d’inquiéter du côté palestinien et qui servit d’élément déclencheur de l’attaque du 7 octobre 2023. Pas un mot ne fut utilisé pour parler de cette cause dans nos chers médias propagandistes français, qu’ils soient “mainstream” ou de la “dissidence”. Curieusement, aucun article sur le site “Egalité et Réconciliation”, aucun mot de “spécialiste” eschatologie, dixit Youssef Hindi. Ils en parleront sans doute après mon article, mais c’est évident, sans me citer. Le vol intellectuel est une seconde nature chez ces gens-là.

Pourtant, quelques articles ont été rédigés sur le sujet. Il faut lire le journal “Géo” pour que cela soit abordé ouvertement.

Un article du journal “the insider” évoque que le Hamas craignait que l’achat de plusieurs vaches rousses au Texas n’entraîne la destruction de la mosquée al-aqsa et du dôme du Rocher.

Le Hamas a cité l’achat par Israël de quelques génisses rousses comme l’un des facteurs qui justifieraient son attaque du 7 octobre. Les terroristes affirment avoir craint que l’un des bovins élevés aux États-Unis n’ait pu répondre aux critères d’une ancienne prophétie, laissant présager la destruction des principaux sanctuaires musulmans de Jérusalem : le Dôme du Rocher et la mosquée Al-Aqsa. Ici, l’intrigue s’épaissit : certains Israéliens, espérant exactement ce résultat, ont importé les vaches dans ce but précis.

Le sacrifice rituel était un élément crucial du judaïsme ancien, à la fois dans la mythologie et dans la pratique. En débarquant de l’arche après le déluge biblique, Noé construisit un autel et se mit presque immédiatement à brûler plusieurs des animaux qu’il avait travaillé si dur pour sauver de la catastrophe naturelle. Abraham a offert des sacrifices à plusieurs reprises au cours du long voyage vers la Terre Sainte depuis la maison de son père, située quelque part dans le territoire irakien moderne. Lors de la purification du Second Temple de Jérusalem, Jésus n’a pas seulement expulsé les changeurs d’argent, mais a également chassé le bétail que les croyants avaient acheté pour l’abattre et le brûler sur l’autel.

Traditionnellement, les animaux sacrificiels étaient petits : agneaux, chèvres ou pigeons. Les Juifs riches pouvaient se permettre d’offrir un bœuf entier. Cependant, le sacrifice le plus désirable était une jeune vache vierge – « une vache rousse sans défaut, dans laquelle il n’y a pas de défaut, et sur laquelle aucun joug n’a été posé ». Depuis la nuit des temps et jusqu’à ce que les Romains détruisent le Temple de Jérusalem au 1er siècle de notre ère, seuls neuf de ces animaux ont été sacrifiés. Trouver un animal qui répond à tous les critères énoncés dans le Talmud n’est pas une mince affaire : une génisse qui plairait à Dieu est décrite dans les moindres détails, et le moindre écart par rapport au manuel prive le sacrifice potentiel de sa valeur particulière.

Trouver la bonne génisse sacrificielle n’est pas une mince affaire : le moindre écart par rapport au manuel prive le sacrifice potentiel de sa valeur particulière.

Le Talmud dit aussi que le dixième abattage d’une génisse rousse sera le dernier. Une fois qu’une génisse appropriée est trouvée et préparée pour le rituel, le Messie juif se présentera, emmènera l’animal au Mont des Oliviers, l’abattra, brûlera le corps, mélangera les cendres avec de l’eau et lavera les croyants avec cette eau. Une fois que les croyants auront été rituellement purifiés, le Messie les emmènera sur le Mont du Temple pour reconstruire le Saint Temple – sa démolition il y a plus de 2 000 ans a marqué la fin des pratiques sacrificielles dans le judaïsme.

Cependant, beaucoup de choses ont changé au cours des deux derniers millénaires. Par exemple, le site de l’ancien temple juif est occupé par deux sanctuaires musulmans : la mosquée Al-Aqsa, la troisième plus importante maison de prière du monde islamique après les mosquées de La Mecque et de Médine, et le Dôme du Rocher, un pavillon construit sur la pierre de fondation, à partir duquel Mahomet aurait commencé son voyage nocturne vers le ciel. La reconstruction du Temple juif nécessiterait inévitablement la démolition des sanctuaires musulmans.

Aussi fantaisiste que cela puisse paraître, il ne s’agit pas d’une anecdote de vieux routiers ou d’un fantasme sectaire obscurantiste. La promesse de la prophétie est la réalité perçue par des milliers de personnes habitant la Terre Sainte, juifs et musulmans. Les premiers attendent avec espoir l’émergence d’une génisse rousse parfaite ; ces derniers le redoutent. Les juifs religieux font ce qu’ils peuvent pour hâter l’abattage de l’animal, tandis que les musulmans sont prêts à aller à l’extrême pour empêcher les juifs d’empiéter sur leurs lieux saints.

Le sacrifice en tant qu’acte politique.

Les Juifs religieux n’attendent pas simplement que le bon animal apparaisse, ils ne ménagent aucun effort pour s’assurer que la génisse soit sacrifiée le plus tôt possible. Des appels ont été lancés pour modifier génétiquement la bonne vache, en modifiant son ADN afin qu’elle réponde à tous les critères du Talmud. Cependant, beaucoup considèrent cette approche comme de la tricherie et préfèrent rechercher la génisse de manière traditionnelle.

Israël a toute une organisation religieuse appelée l’Institut du Temple, dont l’un des objectifs (actuellement du moins) est de rechercher la génisse décrite dans le Talmud. Bien que l’institut ne soit pas une entité publique, il bénéficie de la protection de hauts fonctionnaires et est même partiellement financé par le ministère israélien de l’Éducation et le ministère de la Culture et des Sports.

Grâce en partie à ce financement, l’Institut du Temple peut se permettre d’acheter un terrain pour construire un autel sur le mont des Oliviers, effectuer des sacrifices d’essai, parcourir le monde à la recherche des bonnes vaches et les amener en Israël. L’équipe de rabbins de l’institut a amené le dernier lot de génisses potentielles du Texas en 2022. Pour être certifié « parfait », chaque animal doit subir une inspection complète et intensive par des rabbins compétents, et les rabbins eux-mêmes sont de plus en plus certains que la cérémonie tant attendue aura bientôt lieu, permettant ainsi au Messie de se révéler.

L’hystérie sur le thème des vaches qui engloutit parfois les médias israéliens – ainsi que le fait que le dernier lot de génisses a atteint l’âge prescrit pour le sacrifice – rend les musulmans palestiniens de plus en plus nerveux. Bien sûr, ils ont du mal à croire que le Messie juif apparaîtra sur Terre pour démolir leurs sanctuaires – une telle croyance contredit la doctrine islamique – mais ils ont quelques inquiétudes quant à la sécurité d’Al-Aqsa et du Dôme du Rocher, et la menace qu’ils perçoivent n’est pas hors de ce monde.

L’hystérie sur le thème de la vache rend les musulmans palestiniens nerveux : ils s’inquiètent de la sécurité d’Al-Aqsa.

Après tout, les extrémistes religieux juifs pourraient tenter de détruire les sanctuaires sans attendre le Messie, en sacrifiant les génisses en son absence et en utilisant les cendres pour le rituel de purification qui est la condition préalable à la reconstruction du Temple. Les inquiétudes sont d’autant plus valables que dans les années 1970 et 1980, les Juifs ultra-religieux jouaient avec l’idée de hâter l’avènement du Messie en faisant sauter le Dôme du Rocher.

De nombreux Palestiniens pensent que les terroristes juifs n’agissaient pas de leur propre chef, mais qu’ils bénéficiaient du soutien et des conseils des dirigeants israéliens. La théorie du complot suggérant que le gouvernement israélien complote la destruction des sanctuaires musulmans de Jérusalem est assez répandue parmi les musulmans de Palestine. Une autre théorie du complot populaire soutient que le Saint Temple juif de Jérusalem n’a jamais réellement existé dans les faits historiques – qu’il s’agit d’un mythe moderne concocté par les Juifs pour justifier leurs revendications sur la Terre Sainte.

Les guides musulmans de Jérusalem disent sincèrement aux touristes que les archéologues israéliens travaillant dans la vieille ville enterrent des faux astucieusement créés la nuit, pour ensuite les déterrer en plein jour et les présenter au monde comme preuve de la longue histoire de la présence juive dans la ville. Même le défunt dirigeant palestinien Yasser Arafat a contribué à répandre cette idée fausse. Essayant de convaincre le président américain Bill Clinton que les Arabes avaient beaucoup plus de droits sur Jérusalem que les Juifs, Arafat lui-même a insisté en 2000 sur le fait que le Saint Temple de Jérusalem n’avait jamais existé.

Les chefs religieux islamiques font des affirmations encore plus radicales, affirmant qu’Al-Aqsa a marqué le centre de Jérusalem depuis la création du monde, invitant ainsi à la conclusion logique que sa destruction entraînera la fin du monde. En d’autres termes, le Mont du Temple, ou Haram al-Sharif, comme l’appellent les musulmans, est un siège de tension depuis des siècles.

Pendant ce temps, les génisses qui arrivent à maturité donnent aux Palestiniens une nouvelle raison de s’inquiéter. Et le Hamas a saisi l’occasion.

Le Hamas contre les vaches.

Le groupe terroriste se positionne, entre autres, comme le gardien des sanctuaires musulmans de Jérusalem. Ses dirigeants ont promis de verser une mer de sang juif en réponse aux Juifs ultra-religieux qui ont simplement exprimé l’intention de faire leurs prières à côté d’Al-Aqsa. Officiellement nommé Mouvement de la résistance islamique, le Hamas place toujours la religion au cœur de sa rhétorique, justifiant même les actes les plus barbares par la nécessité de protéger les sanctuaires et les coutumes islamiques (en plus de sauvegarder l’indépendance politique de la bande de Gaza en Palestine, où le Hamas gouverne avec un zèle autoritaire depuis les dernières élections de 2006).

Les génisses rousses du Texas – ou, du moins, leur potentiel à devenir des victimes sacrificielles très importantes – constituent une menace matérielle pour les deux priorités du Hamas. Par conséquent, il n’y avait aucune ironie à ce que le Hamas prétende que son attaque du 7 octobre contre Israël avait été, au moins en partie, provoquée par les animaux.

Abu Obaida, le porte-parole officiel de l’aile militaire du Hamas, connue sous le nom de Brigades Izz ad-Din al-Qassam, a présenté une liste de griefs contre Israël pour justifier la guerre qui a éclaté. Certains éléments n’étaient pas surprenants, notamment la persécution des militants palestiniens et la prévalence des activités de colonisation israéliennes sur des terres qu’ils ne possèdent pas légalement. Pourtant, l’inclusion de la génisse rousse sur la liste offre un rappel presque incroyable de la façon tragiquement tangible des résultats réels de la croyance.

Un lien fut établi par certains entre l’éclipse du 8 avril 2024 et le sacrifice de la génisse rousse, car l’éclipse traverse le Texas, la région d’origine des vaches. C’est comme un clin d’œil du ciel. D’autant que le mois d’avril 2024 au niveau astrologique s’annonce très riche, puisque nous aurons, outre la conjonction Jupiter-Uranus (le 21 avril), la comète du Diable qui va traverser le ciel. La conjonction Jupiter-uranus aura lieu dans le signe du Taureau, le signe auquel renvoie la symbolique de la vache rousse.

Dans mon livre sur les ères astrologiques, j’expliquais que le Judaïsme était la religion qui correspondait à l’ère du Bélier. C’est durant l’ère du Bélier que l’on sacrifiait le symbole de l’ère précédente, c’est-à-dire le Taureau. Il y a toute une symbolique du sacrifice du Taureau que l’on retrouve dans l’Ancien Testament comme dans la mythologie grecque. Le sacrifice d’une génisse rouge reprend sans doute cette idée, un peu datée, puisque nous sommes à la fin de l’ère du Poisson et que c’est justement le Bélier qui est sacrifié.

Du point de vue astrologique, la carte du ciel de l’éclipse, dressée pour Dallas, est très intéressante.

Eclipse 8 avril 2024, 13 h 17, Dallas (USA)

L’éclipse a lieu en Bélier dont le maître est Mars. En Bélier, les éclipses peuvent annoncer des événements violents : guerres, émeutes, coups d’État manqués ou néfastes, parfois un danger pour les chefs d’État.

Le maître de l’Éclipse forme une conjonction avec Saturne en Poisson. C’est l’une des trois grandes conjonctions de l’astrologie mondiale qui étaient étudiées durant l’Antiquité et le Moyen-âge. C’est la rencontre entre les deux maléfiques du ciel, elle pourrait s’annoncer comme particulièrement violente et destructrice.

De l’autre côté de l’éclipse, nous trouvons déjà la terrible conjonction entre Jupiter et Uranus en Taureau. Un signe dont la symbolique fait justement penser à la vache rousse dont on attend le sacrifice afin de permettre la construction du troisième Temple. La conjonction avait déjà eu lieu en Taureau le 23 mai 1858 au moment de la seconde guerre de l’opium en Chine, ou le 8 mai 1941 lors du déclenchement de l’opération Barbarossa, lorsque l’Allemagne nazie attaqua l’URSS.

Au niveau purement événementiel, elle ne pourra concerner que le Mexique, les États-Unis et le Canada. Toutefois, il faut noter qu’un petit bout de territoire français verra l’éclipse, en fin de parcours, c’est l’île de Saint-Pierre-et-Miquelon. Il est donc possible que l’événement prédit puisse avoir lieu en France, mais rien n’est moins sûr.

Il y a l’effet décalé de l’éclipse qui fait que les événements qu’elle annoncent n’auront pas lieu au moment où elle se déroule, mais plusieurs mois, voire plusieurs années plus tard.

Alors que nous approchons de la fin de notre exploration des mystères entourant l’éclipse du 8 avril 2024 et la légende de la genisse rousse du Texas, nous espérons vous avoir offert un voyage captivant à travers les étoiles, les prophéties anciennes et les significations cachées derrière ces phénomènes célestes extraordinaires. Ces histoires, qui tissent ensemble la science, la spiritualité et l’astrologie, nous rappellent combien notre univers est vaste et merveilleux, et combien nous sommes tous connectés à ce tissu cosmique.

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2 réflexions sur “Eclipse du 8 avril 2024 et la génisse rousse du Texas.

  • bonjour
    je suis fatigué de ce monde ! je ne m’y suis jamais adapté !
    mon thème natal est “lourd”, je ne sais plus quoi faire!
    reste il une espérance dans ce monde en perdition ?le “mal” semble avoir toutes les cartes en main !
    merci de me répondre

    Répondre
  • Dumas PJ

    Il s’agit d’un travail considérable dont l’analyse nécessite de trier les paramètres. Ici, sont successivement abordés la vision de Nostradamus à travers les quatrains des Centuries, l’eschatologie religieuse et le contenu astronomique.

    Les quatrains de Nostradamus. La signification calendaire ponctuelle ne concerne en première lecture que peu de quatrains. Les trois quatrains cités se rapportent au Grand Monarque, certes, mais en admettant que ce dernier soit aujourd’hui à l’âge adulte, c’est plus à la guerre en Ukraine que renvoie le grand Roy d’effrayeur qu’à la guerre en Terre Sainte. Cette deuxième guerre a une dimension religieuse plus évidente mais le rôle d’exception à jouer par le Roy que rescucite le grand roi d’Effrayeur est d’abord celui de prince du retour de la paix en Ukraine.

    L’eschatologie religieuse n’est pas le monopole d’une religion. Pour s’en tenir aux trois grandes religions monothéistes, deux fonctions peuvent être distinguées, celle de prophète et celle d’envoyé. Historiquement, la religion juive escompte l’arrivée du Mashia’h lorsque la génisse rouge aura été reconnue comme telle. La cruauté du sacrifice de l’animal rendant impur le sacrificateur interroge l’analyste. Dans le christianisme, le Christ est l’envoyé alors que le Grand Monarque est un être humain. Enfin dans l’Islam, le Mahdi est aussi un homme précurseur d’une fin des temps.

    Le contenu astronomique des eschatologies présentées fait effectivement la part belle aux éclipses, aux comètes et autres signes célestes. Pour être accessibles à tous il est préférable qu’ils soient visibles à l’oeil nu. La signification peut être ambiguë : le spationaute français Jean-Pierre Haigneré à qui il a été donné d’observer, depuis la station Mir, la trace terrestre de l’éclipse totale du 11 août 1999, en avait retenu une impression négative. Ayant observé le même phénomène depuis la place de l’église de Lierval avec des amis, aucun de nous n’a fait état de la même impression.

    Une constante commune à tous ces signes est le décalage dans le temps entre le signe précurseur de la conséquence escomptée et la réalisation de celle-ci. De même « un peu » dans un quatrain peut signifier « beaucoup ».

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